En témoigne le tryptique graphique "Même les choses invisibles se cachent", présenté pour quelques jours encore au Centre d'Art Contemporain intercommunal d'Istres. Un registre onirique pour une création en perpétuel déséquilibre, qui n'est pas sans rappeler l'univers très proche de celui développé en danse contemporaine, tant les notions de basculement et d'effacement des corps sont chez lui prégnantes. A découvrir absolument.