Glass Museum
Basé à Tournai en Belgique, le duo instrumental Glass Museum se compose du pianiste Antoine Flipo (Uncle Waldo, Gustave Brass Band) et du batteur Martin Grégoire (Perils Of Penelope, Rince-Doigt). Influencé par des artistes de jazz moderne comme Gogo Penguin, BadBadNotGood ou Mouse On The Keys, le duo tisse une musique à la fois dynamique, lyrique, et mélancolique, emmenant l’auditeur dans un univers fragile où piano et batterie s’entrechoquent dans un éclat d’énergie.
Polveche Quintet
PIERRE POLVÈCHE (ACCORDÉON), MAURIZIO CONGIU (CONTREBASSE)ET MATTEO GALLUS (VIOLON)
Ces trois musiciens et amis ont tous suivi des études classiques au conservatoire avant d’étudier le jazz. Ils ont également tous les trois le goût des musiques traditionnelles. Il fallait bien mélanger toutes ses inspirations. Chose faite. Le trio décide de monter un répertoire varié qui mêle des compositions originales, écrites par l’accordéoniste, des reprises de standards de jazz, du tango et aussi du « Choro », musique populaire brésilienne. Toutes ces influences sont présentes sur scène et le résultat est réussi. Une musique « cinématique » qui vous laisse le temps de rêver mais qui vous entraîne également à coup sur dans une énergie débordante. Une musique à écouter qui peut être dansé. La générosité du trio ne laisse pas indifférent.
Ces trois musiciens et amis ont tous suivi des études classiques au conservatoire avant d’étudier le jazz. Ils ont également tous les trois le goût des musiques traditionnelles. Il fallait bien mélanger toutes ses inspirations. Chose faite. Le trio décide de monter un répertoire varié qui mêle des compositions originales, écrites par l’accordéoniste, des reprises de standards de jazz, du tango et aussi du « Choro », musique populaire brésilienne. Toutes ces influences sont présentes sur scène et le résultat est réussi. Une musique « cinématique » qui vous laisse le temps de rêver mais qui vous entraîne également à coup sur dans une énergie débordante. Une musique à écouter qui peut être dansé. La générosité du trio ne laisse pas indifférent.
Uncle Waldo
Derrière ce nom se cachent cinq jars et une oie : comprenez cinq gars et une voix.
Antoine (piano), JH (saxophone), Vince (trompette-trombone), Laurent (basse fretless) et Ben (batterie) soutiennent la douce voix de Charlotte dans des mélodies dansantes.
La troupe s’est progressivement constituée dans la région de Tournai et sillonne la Belgique depuis 2014. Avec plus d’une cinquantaine de concerts dans les pattes, elle a fait escale au Jyva’Zick, à
LaSemo ou encore aux Francofolies de Spa. Leur style ? Le J.a.r.s : Jazzy and rythmique swing (please, say « djârz ») ! Ces baroudeurs pas piqués des vers vous emmèneront dans leur univers qui vous fera bouger à en perdre toutes vos plumes !
CharlÉlie Couture
Né à Nancy le 26 février 1956, diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts, CharlElie s’inscrit dans le courant « multiste », des artistes pluridisciplinaires dont il est une des références notoires. En effet depuis plus de 30 ans, CharlElie poursuit une démarche vers ce qu’il définit comme « l’Art Total », attitude globale consistant à trouver des interconnexions entre les formes d’expressions de l’Homme que sont l’Ecriture, l’Image et la Musique. En 1978, pour sa thèse de fin d’étude il a choisi le thème de « la polymorphie de l’esprit » qu’il explore encore aujourd’hui. À cette occasion, il présente des photos, des textes et des peintures et il auto-produit un premier disque « 12 chansons dans la sciure », qui attire l’attention des professionnels. À peine trois années plus tard, en 1981, il est le premier artiste français signé par Chris Blackwell sur Island Records, un label Anglo-Américain.
Neuf mois plus tard, le succès est au rendez-vous avec l’album « Poèmes rock » enregistré à New-York, que le magazine Rolling Stone a classé en janvier 2010 dans le Top 25 des 100 albums qui ont marqué l’histoire du Rock en France. Toujours en 1981, il fonde à Nancy, le groupe « Local à Louer », associant photographes, peintres et poètes et publie à cette occasion le fameux « manifeste de l’Art Rock » où il écrit : « l’Art doit faire la jonction entre le fonctionnalisme de la société industrielle et les aspirations de la culture pop! ». En tant que musicien, il a composé 17 bandes originales de films (dont notamment celle de Tchao Pantin). CharlElie a exposé ses peintures, photos et dessins, en France, en Belgique, en Suisse, aux Etats-Unis. Musicien et compositeur prolifique, CharlElie a enregistré 23 albums et fait 1500 concerts à travers le monde sur les 5 continents.
Il a publié une quinzaine d’ouvrages de réflexions, de dessins et de photos. Depuis 2004, en exil volontaire, parti pour renaître et continuer de pratiquer l’Art « comme une religion » dans cette ville « comme Babel », entraîné dans un mouvement perpétuel. Hyper productif, en phase avec le monde, il dessine, peint, photographie, récupère, transforme ce qui l’entoure dans son atelier New Yorkais. En 2010 CharlElie crée sa galerie « The RE Gallery » en plein coeur de Manhattan (NY). En 2014/2015 il présente, aux Galeries Poirel, à Nancy, une exposition rétrospective « CharlElie, NCY – NYC » qui réunit pour la première fois une centaine d’œuvres qu’il a réalisées de son adolescence à cette année 2015, dont certaines créées spécifiquement pour l’exposition. Aprés l’album ImMortel produit par Benjamin Biolay et sorti en 2014, il part en Louisiane, un rêve qui l’habite depuis longtemps. Il s’installe dans le Bayou, dans le mythique Dockside Studio, et co-produit avec Karim Attoumane un nouvel opus. Il s’entoure des musiciens de Lafayette, Accordéon, mandoline, fiddle, washboard (le « frottoir »), harmonica (« la musique à bouche »), sax, trompette et tuba scandent 13 chansons, en français et en anglais. Zachary Richard, natif du lieu, vient mêler sa voix à celle de CharlÉlie sur deux titres, ainsi que les Lost Bayou Ramblers, sur une reprise de « The House of the rising sun » .
Anouar Brahem
Depuis une vingtaine d’années et avec neuf albums aussi novateurs qu’intemporels, Anouar Brahem s’impose comme l’un des musiciens les plus atypiques et talentueux du prestigieux label ECM.
Il faut dire qu’en authentique « maître enchanteur » de l’oud, ce luth traditionnel oriental millénaire qui trimballe dans sa calebasse tout l’héritage musical du monde arabe et islamique, Anouar Brahem est un phénomène, un véritable concentré de paradoxes féconds; un classique suprêmement subversif ; un solitaire résolument ouvert sur le monde ; un « passeur de cultures » d’autant plus enclin à s’aventurer aux limites les plus extrêmes de lui-même, qu’il entend bien ne jamais céder d’un pouce sur des exigences esthétiques forgées au fil du temps sur un profond respect de la tradition. Et c’est sans doute parce qu’il a su reconnaître d’emblée cette complexité qui le fonde comme une force, parce qu’il a toujours cherché à faire de ce fourmillement d’influences et de passions disparates la matière même de son travail et de sa création, qu’Anouar Brahem s’affirme aujourd’hui comme l’un des rares compositeurs et improvisateurs capables d’inventer une musique à la fois totalement ancrée dans une culture ancestrale hautement sophistiquée et éminemment contemporaine dans son ambition universaliste.
Qu’il fasse ainsi résonner la poésie envoûtante de son oud dans les contextes les plus variés, du jazz dans tous ses états (des musiciens aussi prestigieux que John Surman, Dave Holland ou Jan Garbarek ont succombé aux charmes de ses mélopées) aux différentes traditions musicales orientales et méditerranéennes (de sa Tunisie natale aux horizons lointains de l’Inde ou de l’Iran), sa musique tendre et rigoureuse ne cesse de redéfinir un univers poétique et culturel savamment composite, oscillant sans cesse entre pudeur et sensualité, nostalgie et recueillement.
Lorenzo Di Maio
Après avoir collaboré à de nombreux projets qui l’ont vu grandir (sal la rocca band, Fabrice alleman, Chrystel Wautier,…), le guitariste lorenzo di Maio livre son premier projet personnel, un yin & yang musical qui invite à l’introspection et à l’évasion.
Nominé Django d’Or en 2006 et Sabam Jazz Awards en 2011 et 2013, le guitariste a écumé la plupart des scènes belges et européennes aux côtés de musiciens d’envergure (Jacques Pirotton, Sal La Rocca, Jos Machtel , Nathalie Lorier, Jacques Swartz Bart, Fabrice Alleman, Hans Van Oosterhout, Dré Pallemaerts,…) avant de présenter ce premier projet en tant que leader: Lorenzo Di Maio – Black Rainbow. Inspiré par des musiciens de sa génération tels que Brian Blade and the Fellowships, Ambrose
Akinmusire ou encore Aaron Parks, le guitariste Lorenzo Di Maio nous invite à découvrir un univers introspectif et poétique. Sa musique passe par une multiplicité d’états, d’émotions et d’images tout comme les aléas de l’esprit. Pour l’occasion, il s’est entouré d’une équipe de choc et propose une musique ponctuée d’arrangements délicats et d’un sens esthétique affirmé qui doit beaucoup à l’équilibre subtil entre les cinq musiciens. Dans cet espace de jeu libérateur, les influences diverses se rencontrent et se canalisent.Black Rainbow propose une véritable réinterprétation du Blues ou de la Saudade, ces musiques qui font cohabiter la nostalgie avec l’espoir. «La musique de Lorenzo Di Maio oscille entre contemplation et vivacité, et transpirent toujours d’humanité et de sentiments non feints. La musique à son image, pudique et vraie» (J. Prouvost)